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A 18h55 - Eugène Onéguine accompagne son ami Lenski chez sa fiancée Olga. Tatiana, la sœur de cette dernière, confesse son amour à Onéguine. Mais il la rejette. Lors d’un bal, il s’amuse à flirter avec Olga au point d’attiser la colère de son ami, qui le provoquera en duel.
17h - Dambach-la-Ville possède le premier grand orgue du célèbre facteur d’orgue parisien Joseph Merklin posé en Alsace. Pour faire découvrir au public toute la palette sonore de cet instrument, Thibaut METZ interprétera un répertoire varié. Venez nombreux découvrir toutes les subtilités de ce bel instrument.
A 17h - Comme à l’accoutumée, cette 31e édition de la revue tord le cou à nos voisins lorrains, au Racing ou à l’écologie… et autres phénomènes de société et particularités locales. Les comédiens enchaîneront chants, danses et sketches humoristiques pour faire rire le public aux dépens des personnalités politiques et autres acteurs de l’actualité locale.
A 20h30 - À quoi occuperiez-vous vos journées si une météorite était sur le point d’anéantir vos projets ? Dans un scénario de fin du monde, deux personnages sont poussés à abandonner leur routine et leurs attentes, à s’adapter au désordre et à vivre l’instant présent avec intensité... Sans regrets.
A 18h30 - Pas facile d’être un monstre tous les jours… On traîne une carcasse qui vous fait remarquer. Et dès que l’on tente quelque chose de sympa, cela risque d’être mal interprété voire s’avérer une catastrophe… Et difficile de trouver des amis quand on est un calamar géant ! Monstres à tue-tête s’attache à montrer les monstres sous un jour nouveau. De façon loufoque et décalée, vous découvrez que les plus méchants ne sont pas forcément ceux que l’on croit et, en les connaissant mieux, vous apprendrez à les aimer !
A 18h55 - Le Jour des morts, Frida Kahlo et Diego Rivera revivent brièvement leur amour tumultueux, embrassant à la fois la passion et la douleur, avant de faire un dernier adieu à la terre des vivants. La saison s’achève avec le premier opéra de la compositrice américaine Gabriela Lena Frank : un portrait magicoréaliste du couple de peintres Frida Kahlo et Diego Rivera, conçu comme une inversion du mythe d’Orphée et Eurydice.
A 17h - A travers des chants de Corse, du Kenya, ou encore de Chine, l’ensemble vocal A Chœur Battant célébrera la Vierge Marie au mois de mai. Les chanteurs auront à cœur de vous faire entendre ces mélodies qui témoignent de l’universalité et de la proximité de la Dame de tous les peuples.
A 20h30 - Pour ses 50 ans, l’AMIA (Amis de la Musique sur Instruments Anciens) propose de rapprocher deux arts, la danse et la musique, qui bien qu’intimement liés sont rarement associés lorsqu’il s’agit de musique baroque. Dans la préface des pièces en trio de Marais, on apprend que ces pièces publiées en 1692 ont été écrites et jouées pour le service de la Chambre du Roi. Les sarabandes, menuets rigaudons et autres passacailles étaient d’abord composés en pensant à la danse qui était un art omniprésent à la Cour de Versailles vers la fin du 17ème siècle. C’est à ce «plaisir des yeux et des oreilles» que la danseuse Isabel Devaux et les instrumentistes de l’ensemble invitent le public. Ce répertoire, où partition musicale et partition chorégraphique se lisent de façon simultanée, précisant rythme et pas dans l’espace et le temps, dévoilant l’extrême intimité entre la musique et la danse. De la musique, de la danse, mais c’est aussi l’occasion de démasquer et découvrir la mystérieuse Mademoiselle Roland pour laquelle Marin Marais adresse ses trios.
La soirée débutera à 20h, avec les jeunes qui présenteront une pièce dont le thème a été choisi collectivement et où le rôle de chacun est essentiel. Quant aux adultes, ils vous accueilleront à 21h dans l’univers de l’improvisation, où rien n’est jamais écrit à l’avance.
A 17h - Un beau jour, surprise, Mad’moiselle Bibi voit arriver dans sa bibliothèque un ogre affamé ! Après avoir mangé tous les petits enfants des alentours, il avait dû changer de nourriture et dévorait à présent…des livres ! Et des livres, à la bibliothèque, elle en a Mad’moiselle Bibi !
